9/9 : G comme glanage


On entend le thème musical du film (du violoncelle), puis la voix d'Agnès Varda. C'est elle qui dit le commentaire.
Le film commence sur une rangée de vieux livres posés sur une étagère : il s'agit du "Nouveau Larousse illustré" (Nouveau Larousse illustré, Paris, Larousse, 1898-1907, 7 volumes et 1 volume de supplément).
À la lettre G, les articles "glanage", "glaner", "glaneur"

• Les Glaneuses de François Millet - qui se trouve au musée d'Orsay et
• La Glaneuse de Jules Breton, qui se trouve au musée d'Arras.
On va donc d'abord au musée d'Orsay voir l'original (Le musée d'Orsay a été construit dans une ancienne gare - la gare d'Orsay, située quai d'Orsay dans le 7è arrondissement de Paris, au bord de la Seine).

Elle a un accent du midi. Elle appelle sa maison un "mas" (elle dit : "je suis née, là, dans ce mas et j'y mourrai !").
Un mas, c'est d'après le dictionnaire de Mme Kunitama, un プロヴァンスの農家.
Et après, elle dit : "vous m'avez bien eue !". On comprend qu'elle avait d'abord refusé d'être filmée et que finalement Agnès Varda a réussi à la filmer.


L'homme explique qu'il glanait parce qu'il n'y avait rien manger pendant la guerre.
(Remarquez la forme rien à + infinitif : rien à manger. Equivalente à la forme pas de + nom : pas de nourriture)
Agnès Varda a remarqué qu'autrefois c'était toujours des glaneuses (des femmes) mais qu'aujourd'hui ce sont souvent des


PS : Vous pouvez agrandir les photos en cliquant dessus. Et si vous cliquez sur un mot du blog, vous pouvez ouvrir le dictionnaire Memodata intégré au blog. Comme ça :

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Complément :
• Quand Orsay était une gare... (on reconnaît l'horloge et la verrière).
• Carte des régions de France


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